« Si le vent tombe » : l’impossible envol d’un peuple dans le Haut-Karabakh
Nora Martirosyan réalise un premier long-métrage ubuesque et puissant, inspiré par la situation de la province arménienne et République autoproclamée.
c° Le Monde par Clarisse Fabre

L’immersion malgré lui d’un Français dans la vie en pointillé du Karabakh/Artsakh martyr. A l’heure où un nouveau conflit a une fois de plus embrasé le Haut-Karabakh avec son lot de victimes, d’exactions et de souffrances, le film « Si le vent tombe » résonne de manière magistrale.
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Pour son premier long-métrage, la réalisatrice d’origine arménienne a posé sa caméra dans le Haut-Karabakh, un territoire en crise, afin d’évoquer l’espoir sans cesse déçu de tout un peuple à « faire pays ».