Alors que l’Azerbaïdjan orchestre depuis un mois le blocus de l’enclave du Haut-Karabakh, la communauté internationale reste passive face aux risques existentiels qui pèsent sur l’Arménie.
Alors que l’Azerbaïdjan orchestre depuis un mois le blocus de l’enclave du Haut-Karabakh, la communauté internationale reste passive face aux risques existentiels qui pèsent sur l’Arménie.