Samedi 18 novembre 2023 à Mont de Marsan « Journée de l’Amitié Franco Arménienne » avec la participation de l’asso AgurArménie

Venez nombreux montrer votre soutien à l’Arménie ! 
attention, pour le buffet arménien, inscription avant le 8 novembre

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Les jeunes Montois ont préparé des danses pour la journée. © Crédit photo : Yeraz Gascogne

Arménie : l’envol d’un vignoble millénaire, malgré les menaces aux frontières

Journal Sud-Ouest
Par Jean-Charles Gallacy, à Erevan et Areni
Publié le 21/10/2023

Dans un contexte géopolitique tendu, l’un des plus vieux vignobles au monde, au bord de l’effacement sous le joug soviétique, se reconstruit une aura internationale

Le Machanents Art Hotel, à Etchmiadzin, affiche ses propres cuvées : autour de 13 millions de bouteilles ont été produites en 2022, en Arménie. © Crédit photo : Jean-Charles Galiacy

Sur les hauteurs de Rind, à une centaine de kilomètres de la capitale Erevan, son interminable mât semble inébranlable. À une petite heure de marche de la frontière azerbaïdjanaise, les barres rouge, bleu et jaune orangé du drapeau national s’agitent aux chaleureuses sautes de vent de l’été indien. La « tendre Arménie », comme chantait Aznavour, « son sol sillonné par des cicatrices », « 1 000 fois ravagée mais qui renaissait pure », est confrontée de nouveau aux tourments d’une possible guerre avec les Azéris. Mais la plus ancienne nation chrétienne de la planète a aussi retrouvé foi dans son vieil élixir : le vin est redevenu la fierté du pays.

La Saryan Street, à Erevan, déverse chaque soir jusque sur le trottoir son lot de touristes venus siroter les nectars locaux. Le géant mondial du verre à vin Riedel a imaginé une coupe spécialement dédiée à la dégustation de l’areni noir, le cépage emblématique. La production nationale, 13 millions de bouteilles en 2022, enfle d’année en année.

Si l’Arménie compte autour de 300 cépages autochtones, dont le merveilleux areni noir, des variétés bordelaises sont également plantées dans les régions viticoles. © Crédit photo : Jean-Charles Galiacy

Découpé à la serpe

Mis à mal au cours de son histoire, le vignoble arménien s’est relevé, à chaque fois. En partie détruit au cours du règne séfévide au XVIIIe siècle, arraché lors de l’occupation turque en 1918, on a bien cru le perdre, définitivement, du temps de l’Union soviétique, lorsque Moscou a découpé à la serpe ses territoires pour les productions agricoles : celle du vin allant à la Géorgie, laissant à l’Arménie celle du brandy. « Notre vin était dans le coma, livre Samvel Machanyan, vigneron à Etchmiadzin, à une vingtaine de kilomètres d’Erevan. Ses plantations étaient proches de l’anéantissement avant de renaître il y a une quinzaine d’années. À l’époque, il devait rester entre cinq et dix propriétés dans tout le pays : aujourd’hui, nous en comptons 175. »

À Areni, au début de l’automne, de nombreuses familles proposent leur petite production en bord de route : du vin à base de grenades ou de raisins ainsi que des poivrons. Jean-Charles Galiacy

L’histoire de cette reconquête s’amorce dans un coin un peu paumé, à Areni, une petite bourgade d’environ 2 000 habitants, située à une heure et demie au sud d’Erevan. Une équipe d’archéologues y a découvert en 2007, dans les recoins d’une grotte, les vestiges d’un chai de vinification de 6 100 ans, propulsant le vignoble arménien comme l’un des plus anciens au monde. Près de vingt ans plus tard, la marque Karas, s’érigeant sur six millénaires d’histoire, s’affiche sur une bouteille géante à la sortie de l’aéroport international de Zvartnots quand le vignoble Trinity Canyon Vineyards commercialise des cuvées « 6 100 » en rouge, blanc ou rosé à travers le monde.

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Mercredi 1er novembre 2023  sur France 2 à 9h30 – Émission Chrétiens Orientaux : « Les orientaux chantent la paix »

« Chrétiens Orientaux » est consacrée à la Foi, aux Traditions et aux particularités des Églises Orientales en France et dans les pays de l’Église «mère»
Cette émission de France2 TV a un double objectif: permettre aux fidèles (plus de 700.000 en France) d’être en lien avec leur Église et faire découvrir la foi et le dynamisme de ces Églises à d’autres chrétiens ou non chrétiens.

A l’heure où les pays de l’Orient Chrétien vivent des périodes de guerre ou de fortes tensions, sept chorales de différentes Traditions orientales de la région parisienne vont nous permettre de méditer sur le sens du mot « Paix ».

Véritable voyage dans les traditions des Églises, nous découvrirons aussi les cultures musicales des différents pays d’origines : Arménie, Égypte (Copte), Liban (Maronite et Grec-Melkite-Catholique), Turquie (Chaldéen et Syriaque Orthodoxe) et Ukraine (Gréco-Catholique).

Au cours de l’émission, 3 chanteurs donneront leur témoignage. Ils dialogueront avec l’historien et diacre arménien Philippe Sukiasyan.
A la fin de l’émission, les 50 choristes de toutes les Traditions seront rassemblés en seul chœur : la diversité des rites et des musiques se rassemble dans l’unité : « Heureux ceux qui créent la paix autour d’eux, car ils seront appelés enfants de Dieu ».

Avec la participation de Philippe Sukiasyan, historien et diacre de l’Église apostolique arménienne ; Lussiné Levoni, cathédrale apostolique arménienne de Paris (75) ; Chorale chaldéenne Saint-Thomas de Sarcelles (95) ; Chœur des diacres Copte-Orthodoxe d’Ile-de-France ; Diacre Liubomyr Petsiukh, Gréco-Catholique Ukrainienne (69) ; Chorale des jeunes de la cathédrale maronite Notre-Dame-du-Liban de Paris (75) ; Chorale Grecque Melkite-Catholique Saint-Julien-le-Pauvre (75) ; Diaconesses et diacres Syriaques-Orthodoxes de Sainte-Marie de Montfermeil (93).

Émission religieuse présentée par Thomas Wallut. Réalisation : Jean-Bernard Ganne. Enregistrée à l’église russe catholique (de rite byzantin) de la Très Sainte Trinité à Paris (16e).

Haut-Karabakh : pourquoi l’Arménie redoute que le sud du pays soit à son tour convoité par l’Azerbaïdjan

Franceinfo
France Télévision
Publié le 06L10/2023 06:04

Des Arméniens fuient le Haut-Karabakh et se dirigent vers Goris (Arménie), après une offensive menée par l’Azerbaïdjan, le 26 septembre 2023. (GAIANE YENOKIAN / AP / SIPA)

Le président Ilham Aliev convoite depuis longtemps la région de Syunik, et ce, avec l’appui de la Turquie. De leur côté, les alliés de l’Arménie ne semblent pas tous sur la même longueur d’onde.

L’Azerbaïdjan ira-t-il plus loin ? Depuis la victoire de Bakou sur le Haut-Karabakh, les habitants du sud de l’Arménie craignent que la région de Syunik soit désormais dans le viseur du président Ilham Aliev. Une telle continuité territoriale renforcerait en outre le lien entre l’Azerbaïdjan et la TurquieC’est d’ailleurs depuis le Nakhitchevan que le président Recep Tayyip Erdogan a célébré la « victoire » au Haut-Karabakh de son plus proche allié, y voyant de « nouvelles opportunités » pour la région. Franceinfo vous explique pourquoi l’inquiétude est de plus en plus grande à Erevan.

Parce que l’Azerbaïdjan veut relier son territoire au Nakhitchevan

L’Azerbaïdjan possède depuis un siècle le Nakhitchevan, une région montagneuse qui n’a pas de continuité avec le reste du pays et qui est enclavée entre l’Arménie, la Turquie et l’Iran. En 1921, Staline en avait fait une république socialiste soviétique autonome, avant de la rattacher à l’Azerbaïdjan en 1923, retrace La Croix. Le territoire, qui s’étend sur 5 500 km2, est majoritairement peuplé d’Azéris.

L’Azerbaïdjan entend créer une route terrestre, surnommée « corridor de Zanguezour », afin de relier le Nakhitchevan au pays. (HELOISE KROB / FRANCEINFO)

Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a toujours réclamé une voie de communication terrestre qui passerait par l’Arménie, afin de rejoindre le Nakhitchevan. Après la victoire de Bakou lors de la guerre de 2020 entre le Haut-Karabakh et l’Azerbaïdjan, les deux pays s’étaient entendus sur le principe de cette route. Selon l’accord de cessez-le-feu, établi via la médiation de la Russie, l’Arménie promet de garantir la sécurité des transports, sous le contrôle des autorités russes. Cependant, cette entente a provoqué la colère de milliers de manifestants arméniens qui y ont vu une capitulation de leurs dirigeants.

Alors que ce corridor est resté pour l’heure à l’état de projet, Ilham Aliev souhaite de plus qu’il dispose d’un statut extraterritorial. Dès lors, les biens et personnes y circulant ne seraient pas soumis à la loi arménienne, en dépit de leur passage dans le pays. « Pour les Arméniens, ce serait le début de la fin parce qu’ils seraient entourés d’ennemis mortels et coupés de la frontière avec l’Iran »a prévenu, mi-septembre, sur franceinfo Tigrane Yégavian, chercheur en relations internationales et spécialiste de la région.

Toutefois, une attaque de Bakou dans le sud de l’Arménie afin de constituer cette route par la force « semble peu probable dans un avenir proche », selon Armine Margaryan, ancienne cheffe de cabinet du Conseil de sécurité de l’Arménie. L’Azerbaïdjan risquerait alors d’entrer en conflit avec les Occidentaux. « Après l’invasion de l’Ukraine, l’Occident a démontré sa très forte hostilité envers les entorses au respect de l’intégrité territoriale des pays », rappelle-t-elle dans La Croix.

Parce que la Turquie soutient les ambitions de l’Azerbaïdjan

La Turquie, grande alliée de Bakou dans la région, se montre particulièrement favorable au projet de corridor. Le 25 septembre, cinq jours après l’offensive menée par l’Azerbaïdjan au Haut-Karabakh, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et Ilham Aliev se sont rencontrés au Nakhitchevan. Les deux dirigeants devaient officiellement lancer la construction d’un gazoduc de 85 km entre l’est de la Turquie et le Nakhitchevan, et inaugurer un complexe militaire. Mais selon des médias turcs cités par l’AFP, ils devaient aussi discuter de l’ouverture du « corridor de Zanguezour », du nom du massif montagneux qui dessine une frontière naturelle entre le Nakhitchevan et la province arménienne de Syunik.

Son tracé longerait la frontière avec l’Iran au sud de l’Arménie, via la ville de MeghriAprès la guerre de 2020, les Arméniens s’inquiétaient déjà du sort de cette localité. « Si nous abandonnons l’Artsakh [le nom du Haut-Karabakh pour les Arméniens], nous abandonnerons Meghri, et ensuite Erevan », avait prévenu le président de l’Assemblée nationale arménien, une déclaration rapportée à l’époque par la diplomatie française (PDF). Aujourd’hui, les habitants de cette commune se sentent menacés et certains se disent prêts à prendre les armes pour se défendre.

Pour Ankara, en plus de renforcer les échanges économiques avec Bakou, ce couloir lui permettrait d’étendre son influence vers tous les Etats turciques, dont les langues partagent les mêmes racines que le turc. Outre l’Azerbaïdjan, c’est le cas de l’Ouzbékistan, du Kazakhstan et même d’une partie de l’ouest de la Chine, développe France Inter.

« Personne ne sait exactement à quoi pourrait ressembler ce corridor, mais les observateurs craignent que la jonction se fasse tout simplement par l’annexion du sud de l’Arménie, la région de Syunik, déplore auprès de franceinfo Taline Ter Minassian, spécialiste des Etats post-soviétiques et enseignante à l’Institut national des langues et civilisations orientales. Il s’agirait d’un scénario terrible, d’une violation assez massive de l’intégrité territoriale de l’Arménie. D’autant plus qu’une agression militaire fragiliserait la position de l’Azerbaïdjan dans le processus de paix encadré par les Occidentaux avec l’Arménie. »

Parce que les alliés de l’Arménie sont divisés quant au soutien à apporter

Face à cette menace, les alliés de l’Arménie se disent prêts à la soutenir, mais sans réelle unité. « La France est très vigilante à l’intégrité territoriale de l’Arménie, car c’est ça qui se joue », a assuré Emmanuel Macron dans un entretien télévisé le 24 septembre. En visite à Erevan, la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a annoncé mardi que Paris avait « donné son accord » pour la livraison de matériel militaire à l’Arménie, afin de renforcer sa défense face à l’Azerbaïdjan.

Les Etats-Unis se montrent plus timides. « Pour l’heure, nous sommes très concentrés sur la situation humanitaire », a fait savoir mardi John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, cité par l’AFP.

De son côté, la Russie, pourtant alliée historique d’Erevan, s’éloigne peu à peu de l’Arménie. Cette dernière l’accuse de l’avoir abandonnée en n’assurant pas la sécurité du Haut-Karabakh, comme le prévoyait l’accord de cessez-le-feu de 2020. La reprise de ce territoire par l’Azerbaïdjan « était inévitable », a jugé jeudi Vladimir Poutine, tout en précisant que l’Arménie était « toujours » l’amie de Moscou.

Seul l’Iran, où vit une importante minorité azérie (au nord du pays), reste farouchement opposé au projet d’un corridor dans le sud de l’Arménie. Téhéran se méfie des velléités des nationalistes qui voudraient créer ainsi un « Grand Azerbaïdjan ». Comme le rappelle La Croix, l’Iran propose à la place une route qui passerait à l’intérieur de ses frontières et qui resterait sous son contrôle.

Arménie : un génocide sans fin – C se soir – 02/20/2023

C se soir sur TV5
Diffusé le 02/10/2023 à 22h53  Disponible jusqu’au 01/11/2023
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Focus le Haut-Karabagh : ce territoire peuplé d’Arméniens qui se vide de sa population depuis l’offensive éclair de l’Azerbaïdjan il y a deux semaines…

Un exode massif qui inquiète et qui pose question : Et si l’Histoire se répétait ? Sommes-nous en train d’assister, un siècle plus tard, à un nouvel épisode du génocide arménien ? La communauté internationale a-t-elle fermé les yeux ? Que pouvons-nous faire aujourd’hui pour empêcher l’Azerbaïdjan d’aller encore plus loin ? 

On en débat avec : 

  • Vincent Duclert, Historien des génocides, ancien directeur du Centre Raymond Aron (CESPRA, EHESS-CNRS), auteur de « Arménie – Un génocide sans fin et le monde qui s’éteint » aux éditions Les Belles Lettres (06/10/2023)
  • Lucile Schmid, Co-fondatrice et vice-présidente du think tank « La Fabrique écologique »
  • Gaïdz Minassian, Journaliste au Monde, enseignant à Sciences Po Paris, expert international associé au Centre de recherches internationales de Sciences Po Paris
  •  Faustine Vincent, Journaliste au service international du journal Le Monde
  • Tigrane Yégavian, Chercheur à l’Institut chrétiens d’Orient (ICO), professeur à l’Université International Schiller, auteur de « Géopolitique de l’Arménie » aux éditions Biblio Monde (06.23)

Présenté par : Karim Rissouli, Camille Diao
Chroniqueurs : Laure Adler, Arthur Chevallier
Maison de production : France Télévisions / Together Media

Conférence de Claude Mutafian – Jérusalem et les Arméniens – Médiathèque de Biarritz – samedi 7 octobre 2023 à 15h30

Les relations des Arméniens avec la Ville sainte n’ont jamais cessé depuis le IVe siècle, pour culminer à l’époque des croisades, quand les premières Reines de Jérusalem étaient arméniennes.

Dans la division de la vieille ville de Jérusalem, le quartier arménien, avec son patriarcat, est à part, traduisant l’ancienneté de la présence arménienne dans cette ville qui est, hors d’Arménie, le plus important conservatoire de sa culture : inscriptions, sculptures, mosaïques, orfèvrerie, manuscrits ornés de superbes miniatures.

Abondamment illustrée, cette conférence sera un reflet de ce riche passé décrit par de nombreux voyageurs européens au cours des siècles et présenté dans un musée ouvert en octobre dernier. Claude Mutafian dédicacera l’ouvrage qu’il a publié sur le sujet

Claude Mutafian

Docteur en Histoire
Maître de conférences en Mathématiques à l’Université Paris-XIII
Spécialisé dans l’histoire arménienne

Militant de la cause arménienne

La France « condamne l’action de l’Azerbaïdjan » au Haut-Karabakh et dénonce un « drame humanitaire »

« La quasi-totalité de la population arménienne a été contrainte de quitter un territoire dans lequel ils vivent légitimement », s’est indigné Olivier Véran, refusant toutefois de reprendre les termes du patron des sénateurs LR Bruno Retailleau qui dénonce « une épuration ethnique ».

Par L’Obs avec AFP·Publié le 

« La France condamne l’action de l’Azerbaïdjan » au Haut-Karabakh, a déclaré ce dimanche 1er octobre le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, alors que la majorité de la population arménienne locale a fui l’enclave après sa reprise par Bakou.

C’est « un drame humanitaire »« la quasi-totalité de la population arménienne a été contrainte de quitter (…) un territoire dans lequel ils vivent légitimement », a-t-il relevé sur BFMTV, refusant toutefois de reprendre les termes du patron des sénateurs LR Bruno Retailleau qui dénonce « une épuration ethnique ».

« Les choses doivent se faire dans le cadre des Nations unies », a ajouté le porte-parole, évoquant trois priorités : « la restauration des conditions humanitaires, le soutien à la population et la mobilisation de la communauté internationale ».

Offensive éclair

Les séparatistes arméniens, qui ont contrôlé le Haut-Karabakh pendant trois décennies, ont capitulé et accepté de déposer les armes la semaine dernière, après une offensive éclair de l’Azerbaïdjan pour reconquérir ce territoire.

Depuis, l’enclave a été presque entièrement désertée par ses habitants, avec plus de 100 000 réfugiés ayant fui en Arménie par crainte de représailles de l’Azerbaïdjan.

« Il faut discuter de la relation de l’UE avec l’Azerbaidjan », alors que Bruxelles a signé en janvier avec Bakou un important contrat gazier, a relevé sur France Inter la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. « Ne faudrait-il pas prendre des sanctions contre les Azéris ? Nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Il faut continuer, aller plus loin ».

Une mission de l’ONU, réclamée par l’Union européenne, est arrivée ce dimanche au Haut-Karabakh.

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